Il se passe tant et tant de choses…
Entre les projections de films, les rencontres, les événements, les animations et les cocktails, la 30è édition du festival international du film francophone de Namur, le FIFF, comme on le prénomme, se poursuit dans la capitale de la Wallonie, jusqu’au 9 octobre.
Il se passe, en fait, tant de choses dans le cadre de ce festival convivial o͹ l’invité se sent comme chez lui, tellement la chaleur de l’accueil, la gentillesse de l’équipe du festival et le sourire des gens, nous comblent ! De plus, on ne sait plus o͹ donner de la tête, même si on a déjÍ établi notre programme de la journée. Et outre les projections, o͹ plusieurs films, particulièrement arabes retiennent l’attention, d’autres événements ont lieu. A commencer par l’exposition de quelques affiches de films francophones qui ont reçu le Bayard du meilleur film, le grand prix du festival durant ces trente dernières années. Cette exposition se tient dans le hall de la maison de la culture de la province de Namur. Mais ce qui retient l’attention, c’est le nombre réduit d’affiches de films exposées. Ce ne sont pas tous les Bayard d’or, mais c’est déjÍ pas mal !
Et sous le chapiteau du festival, o͹ tout le monde peut se retrouver pour prendre un pot, plusieurs animations diurnes et nocturnes se passent. Des émissions radiophoniques et télévisées se passent en direct, ainsi que des jeux, comme « La boite Í questions. » Des stands d’institutions s’y tiennent également. Le soir et dès 21 heures, « En avant la musique ! » Des spectacles en live se déroulent dans le cadre de l’émission »Blues Café » de Classic 21 qui invite des musiciens Blues en formations électroacoustique. Un régal pour tous ! Et Í la galerie du Beffroi, Í quelques mètres du chapiteau du festival, a lieu une exposition de photos sous le thème des « Femmes au cinéma. » Ces photos sont dues Í Valérie Nagant, une photographe passionnée de cinéma, qui s’est lancé le défi de réaliser le portrait de femmes gravitant dans l’univers du 7ème art belge.
On y retrouve, par exemple, Emilie Dequenne, Cécile de France, Marie Gillain et Yolande Moreau. Une belle exposition o͹ la photographe nous surprend et peut-être même ses sujets par l’originalité de la prise o͹ le gros plan est savamment utiluisé. Et il y’a tant d’autres choses au festival de Namur, qui veut dire aujourd’hui celui du film francophone.
B.L.