
Après une minute de silence en hommage à Franca Sozzani, disparue en décembre dernier. Le défilé fait son entrée sous les yeux avertis de Anna Wintour et Valentino Garavani assises au premier rang pour décortiquer la première collection de Pierpaolo Piccioli sans son binôme Maria Grazia Chiuri désormais à l’œuvre chez Dior.
Constatation ? Même seul il ne déçoit point ! Bine au contraire avec ce voyage dans la mythologie grecque.
Au sen de l’hôtel Salomon de Rothschild, les mannequins de Valentino avancent telles des déesses, droites et délicates avec des robes longues aux lignes épurées, ivoires, écrues, porcelaine pour passer roses et aux verts subtiles.
On découvre des robes et des capes plissées, des bustiers cœur en jersey de soie, des broderies délicates… puis apparaissent discrètement des couleurs vives comme le rouge lumineux, le rose brillant ou encore le jaune et le parme plus discrets.
Une collection aux lignes pures, dépouillées et allégés qui donnent a ses déesses un charme angélique !