Medias : Le prix international méditerranéen des Ischia 2010 décerné Í  Tarak Ben Ammar

Le jury du prix « Ischia », présidé par M.Giancarlo Elia Valori, a décerné Í  M.Tarak Ben Ammar son prix pour l’année 2010. Un choix dicté

Medias : Le prix international méditerranéen des Ischia 2010 décerné Í  Tarak Ben Ammar

Le jury du prix « Ischia », présidé par M.Giancarlo Elia Valori, a décerné Í  M.Tarak Ben Ammar son prix pour l’année 2010. Un choix dicté par son parcours polyvalent et exceptionnel en tant que homme d’affaires, économiste, publiciste et producteur/éditeur en communication et média d’un niveau international.

Le jury justifie, par ailleurs, son choix par la richesse des activités culturelles de M.Ben Ammar pour une véritable union pour la méditerranée. Le jury reconnaÍ®t, également, que le récipiendaire n’est pas qu’un grand leader en Europe, en Afrique et en méditerranée mais aussi un homme introverti par nature et par choix, un excellent communicateur social et un homme qui a voulu et pu créer une télévision méditerranéenne exceptionnelle et fort appréciée dans le but de favoriser l’ouverture du peuple maghrébin sur de nouveaux horizons culturels et la création d’un espace commun pour le progrès, la paix et la cohabitation.

Lors de la cérémonie officielle de remise de ce prestigieux prix, le lundi 5 juillet 2010 dans l’ile d’Ischia, il a exprimé sa satisfaction et sa fierté et a déclaré Í  l’occasion : « Je suis fier et honoré de recevoir le prix « Ischia » de journalisme en méditerranée. Etre primé par un jury de valeur qui compte, entre autres, le grand écrivain David Grossman, est un grand honneur pour moi .

Le prix Ischia représente, parfaitement, les objectifs pour lesquels je me suis consacré tout au long de ma carrière notamment l’instauration d’un dialogue et d’une communication entre les peuples Í  travers les domines des médias, des affaires et de la finance.

Tout au long de ma carrière, la méditerranée a, toujours, été au centre de mes préoccupations. Venant d’un petit pays comme la Tunisie o͹ la plus grande richesse est l’Homme, je savais que pour réussir il me fallait conquérir les grands marchés européens de l’industrie des films et des médias.
J’ai été très touché d’avoir été reçu chaleureusement par des amis et des associations Í  travers la méditerranée et particulièrement en France et en Italie ce qui m’a permis d’avoir une seconde patrie aussi bien pour ma famille, mes affaires que pour moi-même.

Je suis un homme du Sud qui a réussit au Nord sans oublier ses origines. Je suis fier d’avoir pu acquérir savoir faire et expérience en travaillant en Europe et d’en faire bénéficier mon pays et ce aussi bien lors se la création de mes studios et laboratoires de cinéma que celle d’une télévision libre et indépendante « Nessma » contribuant, ainsi, Í  créer des dizaines de milliers d’emploi en Tunisie. Très tÍ´t dans ma carrière, j’ai su que mon succès devait, nécessairement, passer par l’édification d’un pont entre les cultures de la méditerranée, un espace o͹ l’occident rencontre l’orient et o͹ peuvent cohabiter modernité et tradition.

En ce début de 21ème siècle et au moment o͹ on continue Í  chercher une meilleure conception du monde, je demeure, on ne peut plus convaincu, de l’importance stratégique de la méditerranée pour assurer le lien économique, politique et culturel entre l’Europe, l’Asie et l’Afrique d’autant plus que nous assistons Í  l’émergence de nouvelles puissances Í  l’instar de l’Inde, la Chine et le Brésil.

J’ai été assez chanceux de travailler avec certains grands réalisateurs de renommée internationale comme Steven Spielberg, Georges Lucas, Franco Zefirelli, Roman Polanski, Brian De Palma et tout récemment, Rachid Bouchareb et julien Schnabel. Je suis également fier de compter parmi mes amis et mes partenaires quelques uns des plus brillants hommes d’affaires des cinquante dernières années comme Ruppert Murdoch, Silvio Berlusconi, Vincent Bollore et le prince Walid Ibn Talal.

J’ai toujours cru en un monde sans frontières et aspiré Í  un futur o͹ nos croyances, nos valeurs et nos intérêts convergeraient vers un même objectif Í  savoir celui de léguer Í  nos enfants un monde meilleur que le notre ».