Vernissage Í  la Maison de l’Image de l’exposition annuelle de J. Walter Thompson Tunis

Bonjour les talents ! C’est dans une ambiance conviviale et en présence d’un public nombreux qu’a eu lieu le 27 février Í  la Maison d

Vernissage Í  la Maison de l’Image de l’exposition annuelle de J. Walter Thompson Tunis

Bonjour les talents !

C’est dans une ambiance conviviale et en présence d’un public nombreux qu’a eu lieu le 27 février Í  la Maison de l’Image, Í  Mutuelleville, le vernissage de l’exposition annuelle de J. Walter Thompson -Tunis. Une occasion, devenue coutumière, qui unit les actuels, les anciens et les stagiaires de JWT et pour faire découvrir au public les talents artistiques cachés de ses collaboratrices et collaborateurs. 

Cette exposition, qui se poursuivra jusqu’au 12 mars, réunit les travaux de huit artistes en herbe qui n’ont rien Í  envier aux artistes confirmés et professionnels. L’amour de l’art et le talent, y comptent le plus, dans ce cas précis. Ainsi, les talents cachés de Racem Mtimet, Imen Saadellaoui, Ahmed Ben Abdelghaffar, Slim Boukhris, Zied Mejri, Mohamed Salah Backouche, Melek Karoui et Mouna Guedria y éclatent de splendeur et de beauté. Et Í  quelque exception près, ces artistes présentent chacun une série de travaux qui renvoient le plus souvent Í  l’image qui demeure le point de départ de leur création. Une variation sur un thème, en quelque sorte et une expression libre, aussi. De multiples expressions qui vont du dessin, Í  l’expression du design, Í  la peinture, mais surtout Í  l’art moderne et contemporain.

Une randonnée joyeuse autour de l’expression artistique qui va jusqu’aux objets décoratifs et mêmes aux tissus. Ou comment créer avec un esprit artistique, voire avec la présence d’une vision o͹ l’esthétique l’emporte. Il est même des œuvres qui partent d’une photo. C’est l’image dans tous ses états au « temple » qui lui est dédié. Une exposition-découverte qui vaut absolument le détour pour voir et apprécier les travaux de jeunes artistes tunisiens pétris de talent. Ce dernier n’est lÍ  que leur violon d’Ingres.


B.L.