Le 3 novembre 2014 Í Casablanca- L’oréal Luxe a organisé en grandes pompes, le lancement de la nouvelle fragrance Black Opium de Yves Saint Laurent et ce Í L’Armstrong Pub, un lieu connu pour ses spectacles rocks et ses groupes live venu des quatre coins du monde, original, intense et festif Í l’image de ce nouveau parfum tant convoité et attendu par les amateurs du grand créateurs.
Ont été conviés Í la soirée, des personnalités de l’Oréal Luxe, des personnalités de la Jet Set casablancaise, des journalistes du Maghreb et du moyen orient ainsi que des journalistes et blogueurs marocains, tous venus fêter le lancement de Black Opium d’Yves Saint Laurent.
À propos de Black Opium :
En 1977, Yves Saint Laurent Beauté lance OPIUM pour une femme très particulière : élégante, chic, alliant intelligence vive et beauté nonchalante. Elle évolue dans un univers sophistiqué, marquant de son empreinte tous ceux dont elle traverse l’existence.
2014. Changement de décor. Si elle est aussi insouciante et garçonne qu’auparavant - elle sait qui elle est et ce qu’elle veut -un nouveau personnage voit le jour. Par sa simple présence, elle se fraye un chemin dans notre subconscient. Théatrale, insatiable, elle est un savant mélange d’ombres et de lumières. Sensuelle, féminine. À la fois espiègle et sérieuse.
Mue par le désir, affranchie des contraintes sociales qui clouent les autres sur place, elle aborde la vie Í sa façon. Fascinée par le rock et l’art expérimental, elle s’adonne Í des conversations ésotériques avec ceux qui partagent sa forme d’esprit. Elle vit sa vie avec passion, le destin pour seul terrain de jeu.
Impulsive, toujours en mouvement, elle se sent mieux en ville o͹ le rythme urbain répond Í sa spontanéité. Telle une chasseresse des métropoles lancée dans un safari urbain, elle est en quête d’aventure. Quelle sera sa prochaine obsession : un amant, un lieu, un concept ?
Adepte des poussées d’adrénaline, elle aime surfer sur la vague, ouvrir grandes les portes sur une vie débordante d’excès et de superlatifs. Sa récompense : cet état d’euphorie particulier qui déferle Í travers tout son être lorsqu’elle obtient ce qu’elle veut.
Elle ne fait pas de quartier. Elle n’accepte aucun compromis. Et ça lui va très bien !
C’est la femme BLACK OPIUM.
UNE SULFUREUSE ADDICTION
Un champ magnétique, aussi enivrant que l’esprit de la femme Yves Saint Laurent d’aujourd’hui. Flamboyant, dynamique, énergique et immédiatement séduisant. Un attrait universel, singulier et original. Il ne pouvait y avoir qu’un seul nom pour une force si éblouissante : BLACK OPIUM. Dangereusement contemporain, ce nom impose une évidence : prendre des risques, flirter avec l’interdit, faire quelque chose que l’on ne devrait pas faire. Comme pour le désir. Toujours plus, jamais assez.
Paradoxe. Deux mondes s’unissent. Aussi différents que redoutablement beaux. Le nom BLACK OPIUM est Í la fois classique comme le satin des revers du smoking Saint Laurent et nouveau comme les lumières de la ville scintillant dans la nuit noire, tels des diamants.
Frappant dès les premières syllabes, il parvient Í être aussi choquant que familier, aussi intemporel qu’actuel.
Tel le parfum qu’il représente, son nom seul est inclassable. BLACK. La couleur qui n’en est pas une, un paradoxe suscitant chez celle qui lui porte une attitude de rebelle, qu’elle se la joue biker avec le perfecto d’un amant ou oiseau de nuit avec des vestiges de crayon khÍ´l sur les yeux. Allure ensorceleuse, attitude citadine, le nom OPIUM est synonyme d’un certain mysticisme, promesse de voyage pour celle qui le porte. Aussi lancinant qu’une basse. Vers un ailleurs o͹ l’on n’est pas censé être, o͹ règne l’illicite, profond et sans limites.
Ensemble, ces deux mots conjuguent modernité et éternité, tendance et élégance. BLACK OPIUM. C’est le passe backstage, l’after VIP. Une obscurité intime qu’illumine une étoile de l’intérieur. Un nom fort, sans limites, intrépide, Í la fois passionné et enjoué.
UN NECTAR INTERDIT
Composé par les parfumeurs Nathalie Lorson, Marie Salamagne, Honorine Blanc et Olivier Cresp, BLACK OPIUM joue sur l’intensité qui naÍ®t de la rencontre entre obscurité et douce luminescence.
Aussi addictif que la première gorgée de caféine, aussi délicieusement électrisant et lumineux qu’un bouquet de fleurs blanches, facetté par des notes boisées envoÍ»tantes, cet oriental gourmand nouvelle génération marque une rupture avec la composition des parfums classiques, s’inspirant au contraire du mouvement artistique du « chiaroscuro », o͹ l’accent est mis sur la tension entre ombre et lumière, noir et blanc.
Quatre stars de la parfumerie ont uni leurs talents pour composer une fragrance nouvelle génération, originale, gourmande et multi-facettes. Ainsi, Nathalie Lorson crée une note café noir intense. Marie Salamagne imagine un accord rock tournant autour de notes de poire croquante et de baie de rose vibrante. Olivier Cresp se concentre sur le caractère addictif du parfum, tandis qu’Honorine Blanc, installée Í New York, recherche partout la lumière, proposant pour BLACK OPIUM un magnifique bouquet de fleurs blanches.
Jouant sur le paradoxe entre l’amertume de l’accord grain de café, ingrédient jamais utilisé dans un parfum féminin Í une telle concentration, et l’éclat des fleurs blanches, BLACK OPIUM confère une sensation d’ivresse confinant Í l’extase.
Un départ qui réveille. La note grain de café frappe de plein fouet, chahutant les sens. Elle s’adoucit ensuite et se féminise au contact des fleurs blanches, le jasmin sambac et l’absolu de fleur d’oranger, jusqu’Í devenir incroyablement addictive, enhardie par la divine gourmandise de la gousse de vanille et les notes boisées du cèdre et du patchouli qui confèrent Í ce sillage son opulence, sa profondeur et sa mystérieuse élégance.
Comme un rayon de soleil Í travers l’obscurité d’une pièce, ce jeu entre ombre et lumière est immédiatement subversif, piquant la curiosité de ceux qui l’approchent, les invitant Í en goÍ»ter plus. Joueurs se pliant de bon gré Í un jeu olfactif prenant, terriblement intense.
L’ECRIN PRECIEUX D’UN SECRET CACHÉ
La forme paraÍ®t étrangement familière : le hublot rond et féminin au cœur du célèbre quadrilatère d’OPIUM. Mais lÍ s’arrête la ressemblance.
Avec son fini pailleté noir mat, il y a quelque chose d’éminemment urbain dans le flacon BLACK OPIUM, comme s’il ne pouvait vivre qu’en ville. Orné de poussière de lumière, il scintille délicatement, tel un diamant brut, mais tout en subtilité. Insolite dans cet environnement citadin, il est tout sauf ostentatoire. Subversif, sensuel, il se love au creux de la main, soumis. Une part de vous-même.
Puis il y a ce disque de feu en plein cœur, un or rose flamboyant et féminin qui embrase tout de son énergie, mais dégage une douceur et un raffinement qui lui sont propres.
À l’image des trois dimensions du jus précieux qu’il contient, le flacon se niche dans un opulent écrin noir, le célèbre Cassandre sublimé par des paillettes noires, le logo BLACK OPIUM en subtil or rose.
LA MUSE BLACK OPIUM
Avec sa coupe courte noire de jais, son allure de rock star et sa beauté énigmatique, Edie Campbell est l’ambassadrice BLACK OPIUM. Mannequin londonien célèbre dans le monde entier, elle fait la une des magazines internationaux, élue Mannequin de l’Année 2013, et arpente régulièrement les podiums des capitales de la mode.
SÍ»re d’elle, douée d’une remarquable capacité Í captiver l’objectif, c’est une véritable professionnelle, conjuguant une certaine distance aristocratique Í une sensualité garçonne et un grand sens de l’humour. Son regard de biche subtilement hypnotique masque une force de caractère élégante. Un raffinement citadin qui ne l’empêche pas de s’adonner Í sa grande passion, l’équitation, qu’elle pratique de manière assidue. En 2007, elle remporte le concours d’équitation féminine Glorious Goodwood.
FraÍ®che et libre d’esprit, elle apprécie le talent et le savoir-faire des équipes artistiques qui l’entourent, grace Í son intérêt pour l’histoire de l’art qu’elle a étudié au Courtauld Institute of Art de l’Université de Londres, dont elle est sortie major de promotion. Caméléon, elle lance les modes au lieu de les suivre soit par un changement radical de coupe et de couleur de cheveux, soit par son propre sens du style, libre de ses mouvements, telle une danseuse. Celle Í qui revient souvent la prestigieuse mission d’ouvrir le défilé, Edie Campbell est une véritable bête de scène, retenant l’attention du public et scotchant notre regard sur la page.
Ambassadrice BLACK OPIUM par excellence, Edie Campbell incarne naturellement le caractère Í la fois sublime et avant - gardiste du parfum. DéjÍ plébiscitée par les critiques comme « la brindille de sa génération », toute dernière éloge d’une longue liste. Nouvelle étape de ce qui promet d’être une longue et passionnante carrière, alors qu’elle poursuit son ascension auprès des grands noms de la mode.
UNE QUÊTE IRRÉPRESSIBLE, JUSQU’AU BOUT DE LA NUIT
Shanghai, 2014. Ville autrefois célèbre pour son commerce d’opium, aujourd’hui métropole moderne, cœur vibrant d’une vie urbaine cosmopolite.
On y voit une femme se réveillant au milieu de la nuit dans un gratte- ciel. Les draps froissés de l’autre cÍ´té du lit révèlent l’absence d’un homme, celui avec lequel elle a passé la nuit. Disparu également un objet précieux, quelque chose qu’elle cherche avec frénésie sur la table de nuit.
Elle enfile Í la hate un trench sur son T-shirt et une paire de stilettos. Elle est Í cran, pressée de partir, elle n’attend pas l’ascenseur pour descendre au rez-de-chaussée, impatiente d’attraper le train pour récupérer ce qui manque désormais Í sa vie.
Les néons intermittents au bout du tunnel indiquent qu’il est trop tard. Elle pourrait attendre le prochain train, mais ce n’est pas le genre de fille Í attendre quoi que ce soit.
Elle enlève ses escarpins, court pieds nus dans le tunnel, aussi vite qu’elle peut, rien ne l’arrête.
Il est lÍ , Í l’autre bout, dans sa chambre, dans sa maison. Il est content de la voir, l’attire contre lui. Ils s’enlacent face Í face, elle passe ses bras autour de lui, le retenant fermement, et lui reprend le flacon qu’il tient, ce flacon qu’elle convoite.
Au creux de sa main ce qui lui appartient de droit. BLACK OPIUM, Í fleur de peau. Enfin heureuse.
LES VISIONNAIRES DE LA CAMPAGNE
Les images de la campagne BLACK OPIUM sont signées Txema Yeste. Cet Espagnol de naissance, formé Í la photographie Í Barcelone et Birmingham, a débuté sa carrière en tant que reporter. De cette expérience, il dit avoir acquis son regard perfectionniste et sa capacité Í observer les détails les plus infimes pour faire ressortir l’émotion dans tout ce qu’il photographie. Très demandé par les magazines du monde entier, il est aussi l’auteur de récentes campagnes de publicité internationales saisissantes.
Le réalisateur Daniel Wolfe a créé un film époustouflant pour la campagne BLACK OPIUM.
Il a commencé sa carrière au cours d’un voyage au Vietnam, en travaillant sur le film « Un Américain Bien Tranquille » aux cÍ´tés d’Anthony Minghella. Cette expérience, associée Í son amour pour la musique, l’incite Í réaliser des courts-métrages et des clips, le plus récent avec Jake Gyllenhaal qui a reçu 11 nominations aux UK Music Video Awards, lauréat des prix Best Dance Video et Best Editing. Il vient également d’achever son premier long-métrage, « Catch Me Daddy », un thriller qui se passe dans les landes du Yorkshire, en sélection officielle Í la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes 2014.
Txema Yeste et Daniel Wolfe ont chacun Í leur manière parfaitement retranscrit l’esprit et la beauté d’Edie Campbell dans une interprétation énergique, exaltante et originale de BLACK OPIUM.